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Branche Détection précoce, prévention et infections (EPR)

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Etiologie et prévention primaire des cancers d’origine infectieuse

  • Fardeau du cancer attribuable aux infections : aux niveaux mondial et local
    Le CIRC est la référence mondiale pour les estimations relatives à l’incidence mondiale du cancer attribuable aux infections (https://gco.iarc.fr/causes/infections). Ces estimations doivent être constamment mises à jour à partir des dernières données et améliorées à l’aide d’outils appropriés d’évaluation de l’exposition. Les recherches se concentrent aujourd’hui prioritairement sur les estimations de la morbidité associée au VIH (par exemple, cancer du col de l’utérus, sarcome de Kaposi, cancer de l’anus), au virus d’Epstein-Barr (par exemple, lymphome non hodgkinien, carcinome gastrique) et aux virus de l’hépatite (voir ci-dessous). Sachant qu’il est possible de prévenir ces infections, de telles estimations constituent des indicateurs essentiels pour lutter contre le cancer.

  • Modélisation des décisions en matière de santé publique : aux niveaux mondial et local
    La Branche EPR a développé une expertise en matière de modélisation quantitative pour la transmission du VPH, la vaccination contre le VPH et le dépistage du cancer du col de l’utérus. Elle propose des modèles en libre accès qui permettent de projeter l’impact attendu des mesures de surveillance du cancer du col de l’utérus et d’étudier les phénomènes qui ne peuvent pas l’être exclusivement sur la base de données empiriques. Ces modèles s’inspirent des études menées par EPR sur l’impact de la vaccination contre le VPH (voir ci-dessous). L’objectif de ce projet consiste à soutenir la conception, la mise en œuvre et l’évaluation des programmes de lutte contre le cancer lié au VPH dans les PRFI.

  • Impacts des programmes de vaccination contre le VPH dans les PRFI
    Il est essentiel d’évaluer l’efficacité de la vaccination contre le VPH dans les PRFI pour définir les meilleures stratégies de sa mise en œuvre, soutenir l’engagement à long terme des parties prenantes en sa faveur et renseigner les programmes de lutte contre le cancer. La Branche EPR coordonne ainsi une série d’études multicentriques à partir des données d’enquêtes répétées, relatives à la prévalence du VPH avant et après la vaccination, au Bhoutan, au Rwanda, en Arménie et en Ouganda. Cette approche est étendue à d’autres PRFI ayant adopté des scénarios différents de mise en œuvre de la vaccination contre le VPH.

  • Essais vaccinaux contre le VPH en Inde
    La Branche EPR coordonne une étude multicentrique rassemblant 17 000 femmes vaccinées entre 10 et 18 ans avec une, deux ou trois doses de vaccin quadrivalent contre le VPH. Le suivi à long terme démontre qu’une seule dose est aussi protectrice que deux ou trois doses contre les infections persistantes à VPH16/18 (https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT00923702). Les résultats de l’étude sont régulièrement communiqués au Groupe stratégique consultatif d’experts de l’OMS sur la vaccination. La Branche EPR apporte également une assistance technique à l’essai clinique de phase II/III comparant la sécurité et l’immunogénicité du vaccin quadrivalent contre le VPH produit par le Serum Institute of India (SIIL) à celles du GARDASIL chez les garçons et les filles âgés de 9 à 14 ans (cohorte à deux doses) et de 15 à 26 ans (cohorte à trois doses).
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  • PAPRICA (Intervention pour augmenter la couverture vaccinale contre le VPH en France)
    L’étude PAPRICA est une intervention éducative s’appuyant sur le changement de comportement et ciblant les médecins généralistes de Lyon, France, dans le but d’accroître les connaissances et les attitudes positives à l’égard du vaccin anti-VPH (https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT03592225).
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  • HPV-AHEAD/HEADLAcE (Rôle de l’infection à VPH dans l’étiologie et le pronostic des cancers de la tête et du cou)
    L’étude HPV-AHEAD vise à évaluer la fraction attribuable au VPH dans 8000 spécimens de cancer de la tête et du cou, collectés en Inde et en Europe (Allemagne, Belgique, Espagne, France, Grèce et Italie). Le protocole rigoureux comporte la détection de l’ADN et de l’ARN viraux, ainsi que de la protéine p16INK4a après coloration (https://hpv-ahead.iarc.who.int/). Avec ses partenaires d’Amérique latine (Brésil, Colombie et Pérou) et d’Europe (Espagne, France et Italie), l’étude HEADLAcE a adopté un protocole similaire pour étudier l’étiologie du VPH. Elle comporte également une phase prospective au Brésil et en Italie afin d’évaluer la façon dont les biomarqueurs du VPH peuvent prédire le risque de récidive et la survie à ces cancers.

  • Détection et traitement de l’infection par H. pylori pour prévenir le cancer gastrique
    La Branche EPR participe à plusieurs études sur l’éradication de H. pylori pour prévenir le cancer de l’estomac. Elle participe notamment à l’essai HELPER intégré au Programme national de dépistage du cancer de la République de Corée. Cet essai a recruté plus de 12 000 personnes âgées de 40 à 65 ans, dont 5268 positives pour H. pylori qui ont été réparties aléatoirement pour recevoir un placebo ou un traitement d’éradication. EPR participe également à l’étude GISTAR visant à déterminer si l’éradication de H. pylori couplée au dépistage endoscopique de la gastrite atrophique réduit la mortalité associée au cancer de l’estomac chez les personnes âgées de 40 à 64 ans (https://www.gistar.eu).

  • Elimination de l’hépatite virale
    Un des volets de recherche de la Branche EPR consiste à estimer et à surveiller l’évolution de l’incidence du carcinome hépatocellulaire dans le monde et de son précurseur, la cirrhose hépatique, attribuable à l’infection par les virus de l’hépatite B et C (VHB et VHC). En collaboration avec le Département du VIH/SIDA et le Programme mondial de lutte contre l’hépatite de l’OMS, la Branche EPR combine l’analyse de la littérature sur le sujet et la mise en place de protocoles standard dans des centres sentinelles (unités d’hépatologie ou de gastroentérologie) pour produire de meilleures estimations du fardeau national que représentent la cirrhose et le carcinome hépatocellulaire liés au VHB et au VHC, et évaluer ainsi les progrès aux plans local et mondial pour atteindre l’objectif de l’OMS visant à éliminer l’hépatite virale.

Dépistage des populations à risque asymptomatiques

  • Cancer Screening in Five Continents (CanScreen5)
    Le projet CanScreen5 vise à collecter de façon harmonisée des données sur les caractéristiques et les performances des programmes de dépistage du cancer dans le monde, à les analyser et à les diffuser. Une plateforme internet en libre accès facilite leur interprétation (https://canscreen5.iarc.fr) et des modules de formation autogérées permettent aux participants de proposer des mesures pour améliorer la qualité des programmes de dépistage afin d’en maximiser les avantages et d’en minimiser les inconvénients potentiels (https://learning.iarc.fr/edp/resources/pgm-cancer-screening). En partenariat avec les bureaux régionaux de l’OMS, des sessions de formation régionales, destinées aux responsables de programmes, viennent renforcer les capacités.

    CANSCREEN5 WEBSITE TOUR

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    RESEARCH PROJECTS AT THE CANCER SCREENING WEBSITE

    Plus d’informations


  • RISCC (Dépistage du cancer du col de l’utérus basé sur le risque en Europe)
    RISCC est un consortium financé par l’Union européenne qui vise à identifier les protocoles les plus efficaces de dépistage du cancer du col de l’utérus basé sur le risque. Le consortium rassemble les données de quatre grands essais randomisés contrôlés en population européenne sur le dépistage du VPH et d’un essai finlandais de vaccination anti-VPH randomisé en grappe de phase IV, qui consiste à vacciner d’un côté uniquement les filles, de l’autre à la fois les filles et les garçons. La Branche EPR participe au consortium RISCC via son modèle en libre accès pour le suivi de l’évolution de la maladie en évaluant les bénéfices pour la santé, mais aussi les préjudices de différents programmes de dépistage basé sur le risque (https://www.riscc-h2020.eu/).

  • CBIG-SCREEN (Dépistage du cancer du col de l’utérus chez les femmes vulnérables en Europe)
    La Branche EPR soutient la mise en œuvre de cette étude de recherche multicentrique qui vise à lutter contre les inégalités dans le parcours du dépistage du cancer du col de l’utérus. Cette étude se déroule dans trois pays européens dotés de systèmes de santé différents : l’Estonie, le Portugal et la Roumanie. L’objectif de cette étude est d’augmenter la participation des femmes vulnérables au dépistage pour passer de 26 % à 45 % et d’appuyer les décideurs politiques et les programmes nationaux pour aider l’Europe à atteindre l’objectif de l’OMS d’ici 2030, à savoir le dépistage du cancer du col de l’utérus chez 70 % des femmes au moins.
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  • ESTAMPA (Méthodes de triage et de dépistage du cancer du col utérin au moyen du test VPH en Amérique latine)
    ESTAMPA est une étude multicentrique visant à évaluer différentes techniques et stratégies de triage des femmes positives pour le VPH en Amérique latine (inspection visuelle, frottis cervical, cytologie en milieu liquide, cytologie double coloration, génotypage du VPH, persistance du VPH, nouveaux tests de détection des oncoprotéines E6/E7, tests de méthylation, répétitions rapprochées du test de détection du VPH, modèles de stratification du risque). L’étude comprend un cycle de dépistage sur cinq ans, au cours duquel seront évalués les aspects programmatiques et des questions de recherche opérationnelle pour guider l’extension du dépistage fondé sur la détection du VPH dans les PRFI.

  • CESTA (Approche dépister-traiter du cancer du col de l’utérus basé sur la détection du VPH dans les populations à risque élevé)
    L’étude multicentrique CESTA (pour Cervical cancer screening and treatment algorithms) vise à fournir des indications claires de l’efficacité de deux algorithmes de dépistage et de traitement du cancer du col utérin basés sur la détection du VPH, avec ou sans triage visuel, recommandés par les directives de l’OMS. Cette étude cible les femmes sénégalaises et sud-africaines, séropositives pour le VIH, peu dépistées. L’acceptabilité et les effets secondaires du traitement ablatif sont également étudiés, ainsi que l’utilisation de nouveaux tests de triage dans les scénarios de dépistage et de traitement du VPH.

  • AIMA-CC (Dépistage du cancer du col de l’utérus chez les femmes positives pour le VIH dans les PRFI)
    AIMA-CC vise à évaluer l’efficacité et la faisabilité des algorithmes de dépistage du VPH (auto-prélèvement, test Xpert HPV) chez les femmes séropositives pour le VIH dans des milieux aux ressources limitées. A ce jour, cette étude transversale inclut environ 2000 femmes sous HAART (thérapie antirétrovirale hautement active), suivies à Abidjan (Côte d’Ivoire), à Bobo-Dioulasso (Burkina Faso) et à Phnom Penh (Cambodge). L’étude AIMA-CC (« Suivi ») évaluera également l’efficacité de l’ablation thermique pour le traitement des lésions précancéreuses du col de l’utérus (https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT03789513).

  • SAVE-CERVIX (Dispositif de reconnaissance d’images par intelligence artificielle pour le dépistage du cancer du col de l’utérus dans les PRFI)
    La Branche EPR aide au développement et à l’évaluation de nouvelles technologies d’imagerie prometteuses pour le dépistage du cancer du col de l’utérus dans les PRFI. Il s’agit notamment d’un appareil (n-AVE) qui prend des photos de haute qualité et utilise un programme informatique (intelligence artificielle) pour établir un diagnostic colposcopique. L’entraînement du classificateur sur un plus grand nombre d’images obtenues dans des cliniques de colposcopie en Inde et en Thaïlande est en cours, afin d’améliorer sa précision et sa généralisation à différents environnements (https://www.isrctn.com/ISRCTN18333554). EPR développe également l’application d’un nouvel algorithme basé sur l’intelligence artificielle pour détecter le VPH dans l’urine par spectroscopie infrarouge.
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  • Etude DELTA en Zambie (Modalités de traitement dans le cadre du dépistage du cancer du col de l’utérus dans les PRFI)
    La Branche EPR aide au développement et à l’évaluation d’un thermo-coagulateur portable, alimenté par batterie, pour le traitement des lésions précancéreuses du col de l’utérus. L’étude compare son efficacité par rapport à celle de la cryothérapie et de l’excision à l’anse large de la zone de transformation (LEEP) pour prévenir le cancer du col dans le cadre d’un essai contrôlé randomisé en Zambie (https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT02956239). Ce nouveau dispositif permet d’éviter bon nombre des inconvénients pratiques de la cryothérapie, les complications ou l’inconfort qu’il provoque sont minimes et il a la faveur des prestataires de soins. Les premiers résultats préliminaires positifs de cette étude ont inspiré les récentes directives de l’OMS relatives à l’ablation thermique.
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  • Essai contrôlé randomisé au Zimbabwe pour évaluer la durée de traitement et l’utilisation d’analgésiques lors de l’ablation thermique
    L’OMS a récemment recommandé l’ablation thermique pour le traitement des lésions précancéreuses du col de l’utérus. Cependant, il reste quelques problèmes non résolus autour de cette technique. La durée d’application de la sonde sur le col de l’utérus varie de 20 à 60 secondes dans les études précédentes, et aucune anesthésie n’est utilisée dans la procédure. Quelques femmes (< 5 %) se plaignent de douleurs modérées à sévères pendant l’intervention. La Branche EPR a donc lancé ce nouvel essai contrôlé randomisé pour évaluer la durée de traitement et déterminer si la simple application d’un anesthésique local peut suffire à diminuer l’intensité de la douleur (https://pactr.samrc.ac.za/TrialDisplay.aspx?TrialID=15741).
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  • GUIDES (Facilitateurs et obstacles aux directives de l’OMS sur le dépistage et le traitement du cancer du col de l’utérus)
    Le programme GUIDES vise à identifier les facilitateurs et les obstacles à la mise en œuvre des directives de l’OMS sur le dépistage et le traitement du cancer du col de l’utérus dans certains contextes locaux spécifiques, et à proposer des interventions pour maximiser l’adoption et la pérennité de la mise en œuvre locale des directives les plus récentes de l’OMS. Ce programme s’appuiera sur le cadre consolidé de la recherche opérationnelle (CFIR pour Consolidated Framework for Implementation Research) pour guider les entretiens avec les décideurs, la communauté scientifique et les prestataires de soins de santé afin d’évaluer leurs connaissances, leurs perceptions et l’acceptabilité de la mise en œuvre des directives.

  • CARE4Afrique (Mise en œuvre et renforcement des capacités pour la prévention des cancers du sein et du col de l’utérus)
    La Branche EPR appuie la mise en œuvre et l’évaluation de projets pilotes qui utilisent l’approche dépister-traiter du cancer du col utérin par inspection visuelle à l’acide acétique (IVA), et qui visent également à renforcer les capacités de diagnostic précoce du cancer du sein, au Bénin, au Cameroun, en Côte d’Ivoire et au Sénégal. Ces études évaluent aussi de nouvelles approches, comme l’utilisation de l’ablation thermique pour le traitement des femmes admissibles dont le dépistage est positif, et l’introduction de l’auto-prélèvement pour le test VPH à la place de l’IVA (https://www.isrctn.com/ISRCTN21518741).
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  • Interventions pour améliorer la participation au dépistage du cancer du sein et du col de l’utérus en France
    L’étude AppDateYou vise à évaluer l’impact de la prise de décision éclairée des femmes par le biais d’une intelligence artificielle conversationnelle (un chatbot) pour accroître l’adhésion au dépistage du cancer du col de l’utérus chez les femmes non réceptives. Le Branche EPR aide au développement et à l’évaluation d’un réseau social (CANelles) destiné à être utilisé dans le cadre du programme de dépistage du cancer du sein en France, comme outil de prise de décision partagée par les femmes et les médecins généralistes.
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  • Projets de démonstration pour le dépistage du cancer colorectal dans les PRFI
    La Branche EPR participe à la mise en place d’études multicentriques au Maroc, en République islamique d’Iran et en Arabie saoudite, pour évaluer l’acceptabilité, la faisabilité, l’organisation, la mise en œuvre, le suivi et l’évaluation du dépistage du cancer colorectal dans la population générale en intégrant ce programme de dépistage dans les services de santé publique existants pour informer et guider son éventuel déploiement sur tout le pays (https://pactr.samrc.ac.za/TrialDisplay.aspx?TrialID=5847).
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  • BELUNGS (Mise en place d’un programme pilote de dépistage du cancer du poumon au Bélarus)
    La Branche EPR participe à l’évaluation de l’élaboration et de l’application d’un programme pilote de dépistage du cancer du poumon par tomodensitométrie à faible dose au Bélarus (https://www.isrctn.com/ISRCTN16878075).
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  • APACHES (Histoire naturelle du cancer de l’anus et dépistage)
    La Branche EPR s’intéresse à l’histoire naturelle et à la prévention du cancer anal car il s’agit d’un type de cancer rare dans la population générale, mais dont l’incidence est élevée dans des groupes de population reconnus à risque. L’étude prospective en cours APACHES porte sur 500 hommes séropositifs ayant des rapports sexuels avec des hommes, dans six centres en France. Cette étude a été conçue notamment pour répondre à d’importantes questions concernant l’évolution et la régression des lésions anales de haut grade. Elle vise également à évaluer l’utilité de plusieurs (bio)marqueurs (y compris épigénétiques) dans la prévention du cancer de l’anus (https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT02287961).

Diagnostic précoce des principaux types de cancer

  • Evaluation des programmes de prévention du cancer au Maroc
    L’étude IMPACT, à laquelle participent les centres d’oncologie de Rabat et de Casablanca, compare les cas de cancer du sein diagnostiqués dans le cadre et en dehors du programme de diagnostic précoce. L’étude patterns-of-care évalue la qualité des soins prodigués aux femmes diagnostiquées avec un cancer du sein ou du col de l’utérus dans le cadre du système de santé publique marocain. EPR contribue également à l’examen des déterminants potentiels de la référence tardive dans les centres d’oncologie au Maroc et des obstacles à l’accès aux installations de traitement du cancer.
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  • ABCDE en Inde et en Ouganda (Evaluation des nouvelles technologies pour le diagnostic précoce du cancer du sein)
    La Branche EPR soutient la mise en œuvre d’une stratégie d’intervention à plusieurs niveaux et à plusieurs composantes, comprenant la télépathologie, un appareil portable d’échographie mammaire peu coûteux, de nouvelles approches comme le diagnostic moléculaire et histopathologique sur des blocs cellulaires, afin de réduire les délais d’accès et de diagnostic et d’améliorer la qualité des services de diagnostic pour les patientes atteintes d’un cancer du sein en Inde et en Ouganda.

  • PUD-INDIA (Appareil d’échographie portable pour le triage des femmes présentant un examen clinique des seins positif)
    L’objectif de cette étude consiste à estimer la précision diagnostique d’un appareil d’échographie portable (PUD), peu coûteux, alimenté par des piles, pour trier les nodules mammaires nécessitant un examen plus poussé parmi ceux qui sont clairement bénins, et de comparer cette précision avec celle des examens habituels utilisés chez les femmes positives lors de l’examen clinique des seins (ECS). Le PUD pourrait leur éviter des radiations inutiles et réduire ainsi les coûts et la charge de travail des radiologues, les médecins non-radiologues pouvant être formés à son utilisation.


 

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